PROSCeSS

PROSCeSS : Promotion de la santé au sein des clubs

Le projet Promotion de la Santé au sein des Clubs Sportifs a comme objectif de créer des bases théoriques, des outils et des interventions soutenant la promotion de la santé au sein des organisations sportives.  

Objectifs :

Le projet PROSCeSS a plusieurs objectifs :
1)    Sur base du modèle de la promotion de la santé au sein des clubs sportifs, développer les bases théoriques  de la promotion de la santé au sein des organisations sportives promotrices de santé (fédérations sportives, clubs de sport, entraîneurs…)
2)    Faire un état des lieux de la promotion de la santé au sein de organisations sportives en France et à l’étranger
3)    Développer des outils et des interventions pour promouvoir la santé au sein des organisations sportives, en s’appuyant sur une démarche participative.
4)    Evaluer le processus de mise en œuvre et l’efficacité de ces outils et/ou interventions

Méthodes :

Le projet adopte une approche interdisciplinaire, intégrant les savoirs, méthodes et compétences des sciences humaines et sociales, des STAPS, de la santé publique et des sciences du management. L'une des clés de ce projet est l'utilisation de méthodes participatives pour mieux comprendre les réalités de terrain et réduire l'écart entre les savoirs académiques et pratiques. De plus, l'équipe de recherche s'appuie largement sur des méthodes mixtes pour évaluer non seulement l'efficacité des outils et interventions développés, mais aussi leurs processus d'implémentation.

Calendrier :

Le projet PROSCeSS (PROmotion de la Santé dans les Clubs SportifS) a démarré en 2018, grâce à un partenariat entre Santé publique France, Université Côte d’Azur et Université de Lorraine. Ces trois partenaires ont été rejoints en 2022 par le Ministère des Sports et des Jeux Olympiques et Paralympiques. Par ailleurs, l’équipe du projet a produit deux outils en collaboration avec le bureau européen des maladies non transmissibles de l’Organisation Mondiale de la Santé. De plus, deux thèses de doctorat ont été soutenues sur ce sujet tandis qu’une troisième est en cours (une ayant été financée par Santé publique France et deux par la Région Grand Est et le Pôle Biologie Médecine Santé de l’Université de Lorraine).